prieure
: prieuré
Français
Étymologie
- (1390) Du latin prior (« premier de deux, supérieur »).
Nom commun
Singulier | Pluriel |
---|---|
prieure | prieures |
\pʁi.jœʁ\ |
prieure \pʁi.jœʁ\ féminin
- (Religion) Supérieure dans un monastère de femmes, soit en chef, soit sous une abbesse.
- Elisabeth-Claire de Choiseul-Beaupré, dite de Ste Pélagie, abbesse, née à Sommeville (Marne) le 6 mai 1720 d'Antoine, marquis de Ch., brigadier des armées du roi, et de Charlotte Distofh, profession le 14 octobre 1742; nommée en février 1755 prieure de Charenton, […]. — (Chanoine Paul Lesprand, Le clergé de la Moselle pendant la Révolution, Montigny-les-Metz : chez l'auteur, 1935, vol.2, note de bas de page 95)
- Quand Julienne devint prieure, peu avant 1240, elle trouva une discipline qu'elle estima fort relâchée. — (Pierre de Spiegeler, Les hôpitaux et l'assistance à Liège: Xe-XVe siècles : aspects institutionnels et sociaux, Paris : Les Belles Lettres, 1987, p.160)
Dérivés
- sous-prieure, (Religion) La religieuse qui a la direction, dans un monastère de femmes, après la prieure.
- grande prieure (Religion) Dans quelques Monastères de femmes, la religieuse qui était immédiatement après l’abbesse.
- priorissal
Homophones
Références
- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (prieure), mais l’article a pu être modifié depuis.
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